SAMEDI 29 NOVEMBRE, portes 20h30, CHF 25.-
21h15 > A U A (Leipzig, Krautrock)
22h30 > ELECTROGRAPHIES, Thierry Romanens et Christophe Calpini
© Sébastien Agnetti
« ELECTROGRAPHIES »
ROMANENS / CALPINI
Sur scène, deux fortes personnalités artistiques, entre concert et récit.
Electrographies est le fruit d’une rencontre artistique et amicale, à la fois introspective et ludique, en création à l’Echandole.
Les compositions musicales de Christophe Calpini sont autant de paysages sonores dans lesquelles évoluent la voix et les mots de Thierry Romanens et de certains auteurs aimés à qui il a fait appel. On y croise notamment Jérome Meizoz et Nicolas Jules.
D’un côté la parole qui scande, témoigne, chante, et s’amuse en contrepoint à la mélancolie, et de l’autre côté, la magie d’une batterie electro, boite à sons et à malice, qui electrise et hypnotise.
« Il pleut
On plie
Des journaux sur nos têtes
Et les nouvelles du monde coulent sur nos visages »
Thierry Romanens, voix
Christophe Calpini, batterie, électro, arrangement
A U A : Painkiller No. 1
« Imaginez Radiohead s’ils n’étaient pas accablés par tout ce bagage. »
(Electronic Sound Magazine)
Le troisième album studio d’AUA, Painkiller No. 1, marque l’aboutissement d’une trilogie captivante qui met en valeur l’évolution du son et de la vision du duo. Après l’introspection profonde de The Damaged Organ (2022) et l’exubérance explosive de leur premier album, I Don’t Want It Darker (2020), la dernière œuvre des multi-instrumentistes Fabian Bremer et Henrik Eichmann témoigne de leur talent artistique dynamique et de leur amitié durable. Une fois de plus écrit et auto-enregistré entre leurs studios personnels et un chalet de vacances isolé, Painkiller No. 1 est une mosaïque complexe de variété sonore et d’écriture musicale sophistiquée, reflétant la volonté du groupe de continuer à aller de l’avant.
Les rythmes motorik et les synthés arpégés restent les moteurs créatifs d’AUA, comme en témoignent des morceaux tels que Disconnected Bliss ou la chanson titre de l’album.
